L’Hydroxytyrosol prévient le cancer du sein et protège contre les damages oxydatifs de l’ADN.
Ces dernières années, plusieurs études ont établi un lien entre la
consommation d'huile d'olive et la faible
incidence de plusieurs maladies, dont le cancer du sein. L’Hydroxytyrosol
et le Tyrosol sont deux des phénols présents dans les huiles d'olive vierge
extra.
En voulant savoir pourquoi les personnes adoptant un régime alimentaire riche en huile d’olive avaient moins de cancer, des chercheurs espagnols de l’UniversitatAutònoma de Barcelone ont découvert que l’huile d’olive était particulièrement efficace contre le cancer du sein.
En fait, il ne suffirait que d’un filet d’huile par jour pour que cela soit efficace. L’huile attaque sur plusieurs fronts les tumeurs et retarde leur croissance, forçant la destruction des cellules. De plus, elle protège des dommages potentiellement cancéreux sur l’ADN.
Les chercheurs ont constaté que l’huile déjoue un gène qui favorise la croissance des tumeurs au sein. De plus, l’huile d’olive freine aussi un gène à l’origine du durcissement des artères et des maladies cardiaques.
Ce n’est pas la première fois que l’on prône les bienfaits d’un régime
méditerranéen, qui contient beaucoup d’huile d’olive notamment. Ce type de
régime faible en viande rouge et en produits laitiers a des effets préventifs
sur les cancers, les maladies cardiovasculaires, l’Alzheimer et le Parkinson.
Comment ?
Résultat d’une étude faite par
Nutrients 2011
Une faible incidence de plusieurs cancers, dont le cancer du sein est due
à la consommation de l’huile d’olive. Cet effet a déjà été attribué à la forte
teneur en acides gras monoinsaturés. Cependant, plus récemment, l'importance
des constituants mineurs de l'huile d'olive a été considéré. Au cours de cinq
dernières années, plusieurs publications ont fermement établi que l'ingestion
de petites quantités de certains composés isolés des plantes peuvent réduire le
risque de cancer chez les mammifères cancérogènes, notamment des polyphénols.
L’huile d’olive extra vierge contient des quantités relativement élevées
de polyphénols par rapport à d'autres huiles (huile d'olive raffinée ou des
semences huiles). Parmi ceux-ci, les composés phénoliques qui sont présents à
des niveaux d’environ 400 mg / kg selon la variété d'olivier, les conditions
climatiques et agronomiques, le degré de maturation de la récolte et le
processus de fabrication. Dans l’huile d’olive OLIVIE PLUS 30X le taux de
polyphénols atteint 1200 mg/Kg (voir à ce sujet www.olivie.ma ou bien http://www.olivie.ma/fr/olivie-plus.html).
Parmi les effets bénéfiques des polyphénols sur la santé on retrouve les effets anti-inflammatoires,
anti-oxydants et les effets cardioprotecteurs. Les phénols majeurs identifiés
dans les huiles d'olive comprennent l’Hydroxytyrosol (HT) qui est le plus
puissant et le Tyrosol (TY), les sécoïridoïdes et les
lignanes .Dans l’huile d’olive vierge extra OLIVIE PLUS 30X, le taux de HT et
de TY est 30 fois supérieur à une huile d’olive conventionnelle que l’on trouve
habituellement sur le marché. La concentration de ces phénols est encore plus
bénéfique que l'hormonothérapie où certains cellules cancéreuses sont stimulées
par des hormones. Ainsi les cancers hormono-dépendants (principalement du sein
et de la prostate) peuvent être traités par un traitement hormonal.
Il a été bien établi que l'Hydroxytyrosol est un puissant antioxydant en
raison de ses propriétés antioxydantes marquées par sa capacité à piéger les radicaux
libres d'oxygène et d'azote, pour inhiber l’oxydation de la lipoprotéine de
basse densité (LDL), l'agrégation plaquettaire et l'activation des cellules
endothéliales et sa protection contre les dommages de l'ADN. L’Hydroxytyrosol a réussi à réduire la
synthèse de la prostaglandine E2 bloquant la transcription de COX-2 et de la
lipoxygénase, ce qui réduit l'influence chronique associée à des maladies
telles que cancer.
L’Hydroxytyrosol peut effectivement
contribuer à l'activité de prévention du cancer attribuable en raison de
la réduction du stress oxydatif et de la protection oxydative de l'ADN dans les
cellules mammaires normales, alors que l’Hydroxytyrosol est nécessaire à des
concentrationspharmacologiques pour réduire le stress oxydatif mais ne protège
pas contre les dommages de l'ADN.
Toutefois les deux phénols exercent une défense antioxydante sélective,
empêchant l'oxydation dans les cellules mammaires normales, mais pas dans les
cellules du cancer du sein, ce qui pourrait être utile aux traitements contre
le cancer qui augmentent le stress oxydatif. L’Hydroxytyrosol empêche également
les dommages à l'ADN induits dans les cellules cancéreuses, il peut interférer
avec ces thérapies.
Bien que des études in vitro ont mis en évidence un rôle préventif de
l’Hydroxytyrosol contre le cancer du sein, les mécanismes d'action précises
restent à clarifier. D'autres études sont nécessaires pour élucider les
événements de signalisation cellulaires en matière de protection du stress
oxydatif la prévention du cancer du sein.
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